November 19, 2024, 04:40:08 AM

1,531,348 Posts in 46,734 Topics by 1,523 Members
› View the most recent posts on the forum.


.

Started by Snowy, September 30, 2011, 06:45:03 AM

previous topic - next topic

0 Members and 5 Guests are viewing this topic.

y/n

It's ok
0 (0%)
horrible
0 (0%)
horribad
6 (60%)
never write again
1 (10%)
Kill yourself (Option for Nyerp)
3 (30%)

Total Members Voted: 10

Go Down

Snowy

September 30, 2011, 06:45:03 AM Last Edit: April 25, 2022, 10:14:54 AM by Snowy
.

Socks


YPrrrr

Ew, why do your first two paragraphs start off the exact same way myface;

Andria

Quote from: Yip Yipper on September 30, 2011, 09:43:20 AM
Ew, why do your first two paragraphs start off the exact same way myface;

Minus a comma

also ugh that title is horrendous

YPrrrr

Also stop using the first person, goddamn. I thought that wasn't allowed at all in AP

EDIT: Worst conclusion ever, are you even trying? You need more than two simple sentences. Also also never use the word "conclusion" or any of its forms in your conclusion. Wayyyyy too cliche

YPrrrr

Well at least there is still time to improve for the future y/n

ME##

No.  He doesn't hold people who write in first person. 

Hippopo

Quote from: Snowy the Majestic Møøse on September 30, 2011, 06:45:03 AM
Max Weisman      
English 11 Honors-AP: Paper #1
September 30 2011


Thematic issues in The Crucible and The Scarlet Letter

In The Crucible, the story revolves around lies and deceit, and The Scarlet Letter references lies and shame. While each book has a different tone and setting, they both end up relating to each other in some connected way. 

[Logical end to paragraph one. Needs obvious development.  "Some connected way" is vague]

Here’s how they are all intertwined in this string of lies.  [This sentence does not relate to your thesis.  What string of lies?] Imagine you are in a courthouse, and you witness your friend blatantly lying to the judge.  Imagine you are in town and you see a woman with a scarlet A sewn onto her breast and people are giving her disapproving looks. [relate these two examples immediately. Logical end to another paragraph as it doesn't really relate directly to the sentences below]  Both books deal with lies, justice, and shame, and here is how.

   In The Crucible lies and deceit are a major part of the story because [We know.  It's like the exact sentence from above.  Change it a little.] In the court case, Proctor was confessing to his lies, but then his wife covered up for him in an attempt to save his reputation. The quote for this book that I chose is.  [Choose a better transition sentence, or don't have one at all]

“DANFORTH, reaches out and holds her face, then: Look at me! To your own knowledge, has John Proctor ever committed the crime of lechery? In a crisis of indecision she cannot speak. Answer my question! Is your husband a lecher!
ELIZABETH, faintly: No, sir.
DANFORTH: Remove her!
PROCTOR: Elizabeth, tell the truth!
DANFORTH: She has spoken. Remove her!
PROCTOR, crying out: Elizabeth, I have confessed it!
ELIZABETH: Oh, God! The door closes behind her.
PROCTOR: She only thought to save my name! (III.410-426)” .


I chose this quote   This quote is taken from the scene with probably the biggest lie in the entire play. Elizabeth essentially went against his word to save his reputation and possibly his life. One quote that I found that supports this is "You save your really big lies," she says, "for the person that you're closest to." (Allison Kornet).
In the end we find out it didn’t work, but still she tried. The attempt was there and her cause was just, but in the end it doesn’t really matter because everybody would have been accused of being a witch, due the fear of the unknown.

[confusing paragraph for someone not familiar with the story]

In The Scarlet Letter the entire book is founded on lies and shame. Hester wore her guilt and shame due to the scarlet A sewn on her breast. She also lies to keep the priest safe because he has a wife and he cheated on her with Hester:
---



Well, I have to go to work.  I gave you some revisions.  Sometimes I struck out a sentence, sometimes I just blatantly changed it without any markings. Sorry. girl;

YPrrrr

Quote from: Snowy the Majestic Møøse on September 30, 2011, 10:47:05 AM
Yipper if I fail, will you hold me? :(
There's no room for failures in my boyah Reichdood;

[spoiler]j/k[/spoiler]

Thyme

have fun david 5thgrade;

La tâche principale de l'inspecteur dans le roman policier est de faire ressortir la vérité. Au fil des années et des courants littéraires, plusieurs auteurs ont tenté de diversifier le genre en donnant entre autres à leurs oeuvres des structures narratives irrégulières, des intrigues saugrenues ou des inspecteurs inopportuns, mais l'objectif de ces derniers reste toujours le même. La vérité est toutefois un terme abstrait qui ne s'applique pas uniquement à l'identité du meurtrier ou à ce que l'inspecteur s'est officiellement donné comme mission de découvrir, elle peut aller beaucoup plus loin. Une citation du cinéaste David Fincher traitant de ce sujet porte à réfléchir: «L'esprit humain est à la recherche d'une vérité, d'une logique à trouver dans le chaos.» De ce point de vue, chaque être humain cherche à sa manière une certaine vérité et l'inspecteur n'est donc pas le seul acquis de cette tâche dans le contexte du genre policier. Le film Fargo des frères Coen et le roman Cité de verre de Paul Auster, tous deux jouant à leurs façons aux limites du genre policier, montrent que toutes les sphères concernées dans l'intrigue sont à la recherche d'une vérité dans le chaos: l'inspecteur, les personnages secondaires et le lecteur.

Tel que mentionné plus haut, l'inspecteur cherche évidemment à découvrir la vérité puisque c'est sa tâche fondamentale, c'est ce qui l'identifie comme étant un inspecteur.  Ce qu'il recherche est aussi habituellement la cause d'une déviation de l'ordre établi, il devra donc chercher à travers le chaos, cette absence d'ordre pour élucider le mystère. En ce qui concerne Cité de verre, tout n'est pas aussi simple. Daniel Quinn ne s'identifie pas initialement comme étant un inspecteur. En fait, il ne s'identifie en rien, sa propre identité est ensevelie sous les identités portées par ses oeuvres. Il n'est pas Max Work le personnage, il n'est pas William Wilson l'auteur et il ne croit plus être Daniel Quinn: «Depuis déjà longtemps il avait évidemment cessé de se penser comme réel.»1 Il va donc se donner une identité d'inspecteur en ayant une vérité à chercher à travers le chaos qu'il s'approprie en l'appel à l'aide de Peter Stillman. Il ne voit la chose que comme un simple jeu au départ, mais il devient de plus en plus sérieux dans sa tâche au fur et à mesure que son enquête avance, au point de tomber dans la paranoïa. Il devient éventuellement tellement déterminé à trouver sa fausse vérité qu'il ne devient en quelque sorte finalement que l'enquête en tant que telle: il ne vit plus que pour l'enquête, en tant que clochard invisible. En cherchant une vérité qui n'est pas la sienne, il n'a pu que succomber au chaos. Sa descente aurait pu continuer très longtemps, du moins jusqu'à ce que Paul-Auster-personnage lui annonce que Peter Stillman s'est suicidé. C'est à ce moment bien précis que Quinn commence à perdre sa réalité. La coupure est évidente dans le récit, illustrée comme étant un nouveau réveil chez Quinn, comme s'il s'éveillait justement du rêve qu'était l'enquête: «Il y eut un silence à l'autre bout et Quinn eut un instant l'impression que la conversation s'était terminée, qu'il s'était endormi, bizarrement, et qu'il venait juste de se réveiller avec le téléphone dans la main.»2 Malheureusement pour lui, il avait totalement repoussé la personne de Daniel Quinn pour ne plus être que l'enquête et maintenant que celle-ci était terminée, il ne pouvait plus rien être. Il se détache ensuite de ses possessions, c'est-à-dire son logement et ses vêtements, qui sont les seules choses qui restaient de "Daniel Quinn", puis efface définitivement son existence en cessant sa quête de la vérité, en cessant d'écrire dans son cahier rouge. Dans un autre ordre d'idées, la quête de la vérité de Marge, l'inspectrice de Fargo, est plus simple. Bien qu'elle soit l'antithèse de l'inspecteur de police grand et robuste du genre policier, elle est identifiée dans la société comme étant réellement une inspectrice de police. Elle s'identifie comme telle elle-même, aussi. Toutefois, au contraire de Quinn, elle ne laisse pas l'identité d'inspectrice ensevelir ses autres identités: habitante de Brainerd, femme de Norm, future mère. Elle peut donc faire son travail officiel, c'est-à-dire résoudre l'enquête du triple homicide avec professionnalisme, mais aussi avec un certain détachement, en prenant des pauses et notamment en prenant le temps d'aller voir Mike Yanagita. Elle résout l'enquête et peut ensuite retourner dans le cocon d'amour qu'est son couple. Elle a cherché la vérité dans tout le chaos provoqué par Lundegaard et les deux bandits, mais elle a vu que cette vérité était horrible et l'a rejeté: «There's more to life than a little money, you know. Don'tcha know that? And here ya are, and it's a beautiful day. Well. I just don't understand it.»3 Elle dit ne pas comprendre, mais son incompréhension est volontaire, dû au fait qu'elle refuse d'accepter la vérité comme étant réelle. Ce n'est pas un refus borné, il s'agit plutôt un refus nonchalant. C'est en gardant une vie extérieure à son métier qu'elle est restée saine d'esprit, qu'elle peut garder sa propre réalité contrairement à Quinn.

Les personnages autres que les inspecteurs des deux oeuvres sont également à la recherche d'une certaine vérité. Comme il l'explique à Quinn lors de leurs deux premières rencontres, Peter-Stillman-professeur est à la recherche de la clé du langage pur, du langage qui évoluerait avec les choses qu'il dénomme. Une telle vérité serait à la base, au plus profond de l'esprit humain et serait ce qui permettrait à l'humanité d'atteindre son plein potentiel. Le chaos dans lequel il cherche sa vérité n'est donc pas seulement le langage, mais bien l'inaccessible centre de l'esprit humain. Le thème du langage est également présent dans Fargo. Les personnages du film tentent souvent de négocier ou de débattre quelque chose " même si Showalter dit ne pas vouloir le faire " mais n'y parvient que rarement ou jamais puisqu'ils sont souvent malhabiles avec le langage. Par exemple, Lundegaard se retrouve souvent à bredouiller au téléphone, en tentant de convaincre la personne à l'autre bout du fil mais se retrouve surtout à tourner en rond. En fait, on pourrait même conclure que l'un des interprétables éléments déclencheurs du film, le triple homicide de la scène 13, aurait pu être évité si Showalter avait pu être plus convaincant pour le policier. De là toute l'importance du langage. Pour revenir à Peter-Stillman-professeur, sa dernière rencontre quant à elle traite plutôt sur l'héritage, le don des connaissances. Ce n'est pas seulement son sujet de discussion, mais c'est en vérité aussi ce qu'il fait. Quinn s'était identifié comme étant le fils de Stillman, mais ça n'a en fait aucune importance pour ce dernier. Le don de sa connaissance a plus d'importance s'il le fait avec Quinn puisqu'il lui annonce sa propre fin: «Car mentir est une mauvaise chose. Ça fait regretter d'être né. Et ne pas être né est une malédiction qui te condamne à vivre hors du temps. Et quand tu vis hors du temps il n'y a plus ni jour, ni nuit. Tu n'as même pas la possibilité de mourir.»4 C'est justement l'erreur que Quinn fait, se mentir à lui-même en se disant qu'il n'existe pas, puis il se retrouve à vivre hors du temps, à être effacé. Une autre conclusion à retirer de ce passage serait que Stillman était lui-même devenu, comme Quinn à la fin du roman, un concept abstrait: ses connaissances. Il ne vivait plus que pour elles, il était ses connaissances. Une fois qu'il les lègue à Quinn, on ne le revoit plus. Une façon de voir cela serait qu'il s'est effacé parce qu'il a atteint son but " faire passer sa vérité " et une autre serait qu'il vit à partir de ce moment à l'intérieur de Quinn. En ce qui concerne les personnages de Fargo, ils reviennent plutôt au thème de la quête de l'identité. Les personnages de Lundegaard et Showalter portent tous deux des masques métaphoriques. Le premier prétend être un vendeur de voitures et père de famille, un homme tout à fait tranquille lorsqu'il a en fait de très graves problèmes d'argent dont les causes ne sont pas mentionnées dans le film. Le second essaie de sembler dur et sans pitié pour avoir plus de pouvoir. Les deux sont à la recherche de leur véritable identité à travers tout le chaos qu'ils créent dans le film et à travers leurs propres limites respectives, pour voir jusqu'où ils peuvent se rendre.

Le troisième élément tentant de trouver une vérité est le lecteur. L'une des caractéristiques particulières du genre policier est qu'elle incite le lecteur à trouver la vérité, l'identité du criminel principal avant que l'inspecteur de l'"uvre ne le fasse lui-même. Toutefois, avec ces deux oeuvres, la situation est un peu différente. Pour Cité de verre, le véritable meurtrier est en la personne de Quinn et la victime est également Quinn lui-même. Il peut être difficile de chercher si tout ce que le lecteur voit est du point de vue de Quinn. Après la lecture du roman, le lecteur tentera surtout de comprendre les dimensions narratives du récit plutôt que de l'intrigue en tant que telle. S'il tente réellement de chercher l'intrigue, il se heurterait contre un mur tout comme Quinn puisqu'il chercherait quelque chose qui est faux. Le roman utilise aussi plusieurs procédés pour le désorienter ou lui faire croire qu'il est complètement perdu. La notion du temps est souvent troublée, notamment par la longueur des chapitres. Certains couvrent un laps de temps de quelques heures tandis que le chapitre 12 "semble" couvrir plusieurs mois. Ce dernier semble couvrir ce laps de temps puisque le lecteur est toujours du point de vue de Quinn et lui-même perd la notion du temps à ce moment. Il n'est plus que l'enquête, l'enquête n'attend pas pour personne. La description des lieux déboussole aussi le lecteur puisqu'elle est presque absente. Il y en a un peu, certes, mais pour la majeure partie New York semble surtout être tout simplement une série de rues. Fargo, quant à lui, brouille les pistes avec le message affiché au tout début du film affirmant que ce qu'il raconte est une histoire véridique. La personne qui visionne le film se sent plus concerné par les événements puisqu'il les croit réels et cela contribue à amplifier leur effet dramatique, mais il se dit aussi qu'il n'a pas à chercher le meurtrier puisque l'inspecteur n'est plus un compétiteur, il est plutôt un héros pour lequel les actes héroïques sont racontés. Une autre raison pour laquelle il n'a pas à chercher les meurtriers est qu'ils sont annoncés dès le début du film. Toutefois, le "spectateur" cherchera tout de même une certaine vérité au fil du film. Le ridicule des événements lui fera se demander si les événements sont bel et bien réels.

En résumé, Fargo des frères Coen et Cité de verre de Paul Auster répondent tous deux à leur manière respective à la citation de Fincher, à ce quoi toutes les personnes concernées sont en quelque sorte à la recherche d'une vérité, notamment leur véritable identité, dans le chaos qu'ils sont chargés d'élucider ou qu'ils créent eux-même. Une nouvelle piste de recherche s'ouvre aussi maintenant. L'article sur Cité de verre de Wikipédia rapporte qu'un personnage du jeu vidéo Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty se nomme Peter Stillman et que plusieurs autres personnages qui n'ont pas été inclus dans la version finale auraient été nommés d'après Quinn et ses alias.5 Il est vrai que ce jeu partage certains thèmes avec le roman, comme le dédoublement des narrations et des points de vue formé par la trinité des personnages de Raiden, Solid Snake et le joueur en tant que tel et également le thème des limites de la réalité et de la fiction, mais il serait intéressant de chercher à voir si la citation de Fincher s'y applique également.


you've never written an essay until you've written one mentioning metal gear solid sillydood;

sans culottes

when i read your post i assumed this was some moron's essay that you were poking fun at

then i found out it was yours

:x
I support BUSH

Mando Pandango

God Snowy your essay reeks of high school mediocrity.

Also, every teacher I've ever had always said to never ever ever ever ever use "I" in an essay. The fuck are you doing, sir?
Quote from: Magyarorszag on August 22, 2018, 10:27:46 PMjesus absolute shitdicking christ, nu-boyah

silvertone

Break all the rules of High School Essays in one or 2 sentence to see if your teachers appreciate Irony. (none of mine did)

Quote from: Thyme on September 30, 2011, 11:08:01 AM

you've never written an essay until you've written one mentioning metal gear solid sillydood;


I have done this.  goowan

Andria

Quote from: ポ--,,ルの" on September 30, 2011, 12:55:42 PM
God Snowy your essay reeks of high school mediocrity.

Also, every teacher I've ever had always said to never ever ever ever ever use "I" in an essay. The fuck are you doing, sir?

>high school

hahaha

yeah that is just not a good essay snowy

PLEASEHELP1991

looks like a fifth grade level essay  doodhuh;
start over from scratch... there's just no way to salvage this
fortunately, i think this is the year the college board starts using ocr robots to grade the tests, so all you have to do is use superfluous phrases to get at least a 3
I love [you]

Go Up